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Un voyage en pays catholiquesde l'ouest de l'Amérique du sudsur la lancée d'un développement Viaje a Nasca Museo Antonini / sitio de Cahuachi - Première partie, La route - Seconde partie, la ville de Nasca - Troisième partie, le site de Cahuachi - - Quatrième partie, Puquio et cochenilles - - Cinquième partie, Museo Antonini - Les photos ci-dessous parlent souvent d'elles-mêmes, il n'y aura donc que peu de commentaires... Puquio près de Cahuachi.(from Quechua: Pukyu meaning "spring of water") Définition [d'après archaeologywordsmith.com] "Semi-subterranean aqueducts (35 or an original c 40) in the Nasca region of Peru. Each puquio works as a horizontal well, tapping ground water and directing it through a subterranean tunnel or open trench to a small reservoir. Evidence indicates that the construction was done c 6th century AD by the Nasca culture".Cette technique ressemble beaucoup aux khettarats marocaines (Galerie drainante qui ramène par gravité de l’eau de la nappe jusqu’à la surface du sol), voir notamment ce texte explicatif et également "Les intempéries aux portes du désert dans le sud-est marocain. Cas de l'oasis de Ferkla". Photo © Richard Varrault Arrivée sur les lieux. Photo © Richard Varrault Les arbres prennent l'eau de la source et réduisent, modestement, l'évaporation. Photo © Richard Varrault Vue de l'intérieur du puquio. Photo © Richard Varrault Par ce canal l'eau du puquio va irriguer les terres en aval de l'arrivée de la source.Pour celles et ceux que le sujet intéresse l'ouvrage de Katharina Jeanne Schreiber et Josué Lancho Rojas, Irrigation and Society in the Peruvian Desert: The Puquios of Nasca, Lexington Books, est disponible sous forme d'extraits sur Google Books. Photo © Richard Varrault Cochenille du cactus Tuna sur le site de Nasca. Les cochenilles sont des parasites dont on compte plus de 8000 espèces. Ces insectes étaient autrefois nommés « poux des plantes » en raison de leurs pièces buccales transformées en rostre piqueur leur permettant d’aspirer la sève. Photo © Richard Varrault Quelques cochenilles écrasées entre les doigts donnent cette couleur rouge carmin. Les cochenilles sont "élevées" sur les cactus pour être "récoltées" et vendues comme colorant naturel connu depuis de nombreux siècles dont on retrouve la trace sur de nombreux textiles archéologiques, notamment de régions boliviennes et péruviennes. Selon la zone de culture il peut servir de marqueur biologique pour déterminer l'origine géographique d'un tissu. Photo © Richard Varrault Tuna de Nazca destiné à l'élevage de cochenilles. Photo © Richard Varrault Cochenilles vues en gros plan sur des Tunas d'Ocucaje à quelques kilomètres d'Ica. Photo © Richard Varrault Elevage de cochenilles sur le cactus Tuna à Ocucaje. Photo © Richard Varrault Haut de page
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