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Un voyage en pays catholiques de l'ouest de l'Amérique du sud sur la lancée d'un développement
La Paz
La ville ou oxygène et dégagements des pots d'échappement sont incompatibles
La Bolivie est ensoleillée, sauf à la saison des pluies et La Paz sous le soleil est très agréable.
Toutefois la ville est construite dans une cuvette en pente constante qui l'empêche d'avoir des surfaces réellement planes.
Le promeneur, comme tous les systèmes de transport, est obligé de monter, descendre, remonter, redescendre en permanence. Il s'en suit une dépense énergétique importante qui impose un bon dosage de l'oxygène absorbé. A 3 500 mètres ou 4 058 mètres sur l'Alto, il est bon de s'économiser en marchant lentement tout en veillant à la circulation dense de milliers de véhicules crachant des fumées noires, des odeurs de carburant et respectant fort peu le piéton égaré sur la chaussée.
Il est d'ailleurs de bon ton de conseiller aux visiteurs qui s'installeront pour la première fois dans la capitale économique du pays de marcher lentement, de manger peu et de dormir seul, c'est seulement à ce prix que s'installera l'acoutumance à l'altitude.
Il ne faut aucunement négliger ces aspects tant ils déterminent la suite de toute ballade dans la ville. Parfois, le sorroche vient perturber la quiétude acquise après quelques heures de vie en hauteur. Cet ennui particulier est caractérisé par un mal de tête persistant souvent accentué par des températures, notamment nocturnes, en hiver entre -6 et +3 degrés Celsius.
Comme certains hôtels ne sont pas chauffés, que l'isolation et le double vitrage n'ont souvent pas atteint votre lieu d'hébergement, le mal tent à s'accentuer. Néanmoins, après un passage de quelques jours à La Paz, la visite d'autres lieux à des altitudes moindre, le retour dans la capitale est beaucoup plus serein et on se prendrait presque à vouloir courir dans cette cité excessivement polluée.
Le trajet Lima-La Paz aller et retour comporte toujours une escale à Sanra Cruz, nouveau centre économique de la Bolivie. Cette vue réalisée depuis l'appareil en approche donne une idée des transformations subies par une partie de l'Amazonie bolivienne.
Photo © Richard Varrault
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Le Nevado Illimani, montagne et sommet emblèmatique de La Paz culmine à 6 462 m. Il est situé au sud-est de la ville.
Photo © Richard Varrault
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En approche de l'aéroport international El Alto de La Paz. On aperçoit le Nevado Illimani sur la droite de la photo.
Photo © Richard Varrault
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Les cultures sur El Alto forment un curieux tissu, les limites des surfaces cultivées ainsi que des monticules certainement destinés à stocker des fourrages.
Photo © Richard Varrault
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Sur tous les aéroports de Bolivie, comme ici à El Alto, les passagers quittent la salle d'embarquement, marchent plusieurs dizaines de mètres sur le tarmac pour rejoindre les échelles d'accès à l'appareil... On remonte le temps, un demi-siècle en arrière.
Photo © Richard Varrault
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Les zèbres de La Paz, éducateurs urbains aux civilités de la circulation. ""El proyecto de Educadores Urbanos surge el año 2001, como iniciativa del despacho del Alcalde Juan Del Granado Cosio, fue concebido como un mecanismo de Educación Vial, introduciendo el personaje de la “cebra” como referencia para que la ciudadanía se acostumbrara a usar los pasos de peatón, su propósito, el aportar en la disminución de la problemática en las calles."" Plus d'informations sur le site officiel de la ville de La Paz, rubrique "Conociendo la Ciudad > Cultura ciudadana > Las cebras educan" et sur votre outil préféré de recherche web. Photo prise à El Alto Avenida 6 de Marzo.
Photo © Richard Varrault
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Ces deux photos se lisent de gauche à droite en commençant par celle du haut. Elles ont été prises depuis le parc du Mirador de Killi-Killi. Elles présentent une vue en direction de l'est, vers le Nevado Illimani, avec, au centre, El Estadio Olimpico Hernando Siles et en direction du sud vers l'un des flancs d'El Alto.
Photos © Richard Varrault
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Panneau, Sopocachi, génial, cool...
Photo © Richard Varrault
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Arrivée à El Alto, pour rejoindre l'aéroport.
Photos © Richard Varrault
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Les lieux emblématiques et d'importance stratégique comportent toujours quelques plaques ou stèles qui en rappellent les origines et l'histoire. Dans l'attente de l'arrivée de l'appareil qui devait nous conduire à Lima j'ai flané au hasard dans l'aérogare et ses environs. J'ai découvert ces deux plaques commémoratives. Celle de gauche date la construction de l'aéroport, 1970, fruit de la coopération entre la Bolivie et les Etats Unis, celle de droite commémore l'extension et l'amélioration de l'aéroport de la ville de La Paz par la réalisation du terminal "John F. Kennedy" en août 1996.
Photos © Richard Varrault
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Dans le parc sur l'aire de parking (automobile) de l'aéroport El Alto, une sculpture et une plaque commémorative en la mémoire de Santos-Dumont : "Hommage de la force aérienne bolivienne à l'éminent brésilien Alberto Santos-Dumont "Le père de l'aviation".
Photo © Richard Varrault
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Il n'y a pas que les avions qui se posent à El Alto.
Photo © Richard Varrault
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Sous l'immense panneau publicitaire qui accueille les passagers, l'altitude de l'aéroport : 4058 m.
Photo © Richard Varrault
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Quelques vieux avions garés au hasard de leur dernier mouvement laissent pourir leurs carcasses sous les yeux affligés des amoureux des appareils à hélice. Sans doute faudrait-il quelques courageux financements pour créer un musée de l'aviation bolivienne sur le vaste terrain de l'aéroport El Alto...
Photos © Richard Varrault
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Tour de contrôle d'El Alto côté piste.
Photos © Richard Varrault
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Vue depuis l'aéroport avec en fond le Nevado Illimani.
Photos © Richard Varrault
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Bye-bye La Paz, à bientôt !
Photos © Richard Varrault
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